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Agence Marketing Digital à la Performance | Stratégie & ROI
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Le projet PDP consiste à concevoir et développer une plateforme de dématérialisation partenaire conforme à la réforme française sur la facturation électronique.Cette réforme impose à toutes les entreprises d’émettre, recevoir et transmettre leurs factures sous des formats normalisés (Factur-X, UBL, CII) via des plateformes accréditées, interconnectées avec le Portail Public de Facturation (PPF).L’objectif du projet est de créer une solution complète, fluide et interopérable, capable de gérer l’ensemble du cycle de vie d’une facture électronique, depuis son émission jusqu’à son archivage, tout en intégrant les obligations de e-reporting fiscal.Objectifs du projetPermettre aux entreprises d’émettre et recevoir des factures conformes à la réglementation, de manière automatisée et sécurisée.Offrir une interface simple et intuitive adaptée aux TPE, PME et ETI.Garantir l’interopérabilité avec les autres PDP et avec le PPF.Assurer la conformité juridique, technique et RGPD.Centraliser la gestion des flux de facturation dans un environnement unique.
Externaliser le développement web à l'étranger n'est plus réservé aux grandes entreprises. Désormais, startups comme PME françaises se tournent vers l’offshore pour gagner en agilité, maîtriser les coûts et accéder rapidement à des expertises rares. Mais comment s’y prendre et sur quels critères choisir une agence web offshore fiable depuis la France ? Panorama et bonnes pratiques pour un partenariat réussi, sans mauvaises surprises.
Une agence de développement web offshore est une structure implantée dans un pays à coûts de production réduits (Madagascar, Maurice, Maroc, Europe de l’Est…). Elle propose à distance une large palette de services (conception, création, design, développement applicatif, maintenance, etc.) pour des entreprises basées en France.
| Service | Description | Technologies fréquentes |
|---|---|---|
| Création de sites vitrine | Développement sur mesure, CMS (WordPress, Drupal) | HTML, CSS, WordPress |
| E-commerce | Boutique en ligne, migration, refonte, Prestashop, WooCommerce | Prestashop, WooCommerce, Magento |
| Développement sur-mesure | Applications web et mobiles, intégrations API | PHP, Laravel, React, Vue.js |
| Tierce maintenance applicative | Support, évolutions, sécurité, monitoring | Outils DevOps, Cloud |
| Design UX/UI | Prototypage, conception graphique, identité visuelle | Figma, Adobe XD, Sketch |
Conseil pro : Évaluez votre besoin réel en amont — la qualité de l’agence offshore dépend de sa spécialisation (e-commerce, plugin sur-mesure, app mobile…).
Le chiffre à retenir : En France, le TJM d’un développeur senior avoisine 500 € ; une agence offshore peut proposer des profils similaires dès 150 €/jour.
| Critère | Pourquoi c’est important | Indicateur à demander |
|---|---|---|
| Références vérifiables | Pour s’assurer d’une expérience dans le contexte français | Exemples de projets, avis |
| Expertise technique | Pour garantir la qualité et l’adéquation au projet | Tech stack détaillée |
| Gouvernance projet | Pour anticiper les retards/incompréhensions | Mails, points hebdos |
Insight terrain : Les meilleures agences offshore proposent des gestionnaires de projet en France, véritables ponts culturels et organisationnels.
| Type de prestation | Tarif offshore constaté | Tarif France estimé |
|---|---|---|
| Site vitrine WordPress | 1 500 à 3 000 € | 3 500 à 6 000 € |
| Application sur mesure | 8 000 à 20 000 € | 15 000 à 40 000 € |
| Maintenance mensuelle | 150 à 400 €/mois | 400 à 1 000 €/mois |
| Développeur dédié (1 mois) | 2 500 à 4 000 € | 7 000 à 10 000 € |
Les modalités les plus sûres : forfait au projet, TMA sur contrat annuel, développeur dédié en régie.
Conseil pro : Privilégiez un cahier des charges précis, un engagement sur les délais et des jalons avec paiement à l’avancement.
Un acteur du e-commerce français a choisi une agence basée à Maurice pour la refonte de sa boutique Prestashop et la maintenance mensuelle : baisse des coûts de production de 35 %, amélioration du taux de conversion (+18 %) grâce à une refonte UX poussée, et support technique 7j/7.
Insight terrain : La qualité d’un partenariat offshore dépend principalement de la qualité du brief initial et du mode de pilotage adopté.
Un éditeur SaaS bordelais, confronté à un manque de profils spécialisés en React, a externalisé le développement de modules front-end à Madagascar. Résultat : délais divisés par deux, sans compromis sur la qualité code (contrôles automatisés, code review croisée France/offshore).
Avec méthode et les bons partenaires, l’offshore web depuis la France est un formidable accélérateur : il allie compétitivité et qualité, à condition d’en maîtriser les enjeux et les codes.
Le coût d’un projet de développement web offshore piloté depuis la France varie généralement selon la complexité technique, le volume des fonctionnalités, mais aussi selon la provenance des équipes partenaires. En 2023, pour une PME française, le tarif journalier moyen d’un développeur web offshore est estimé entre 180 et 350 € contre une moyenne nationale de 550 € pour une prestation locale, selon Numeum. Un projet standard (site vitrine, plateforme e-commerce) confié à une équipe offshore fiable coûte de 12 000 à 45 000 € HT selon le cahier des charges et la localisation de l’équipe (Europe de l’Est, Maghreb, Inde, etc.). À noter que le secteur numérique français, avec 1 million d’emplois et 29 000 entreprises spécialisées en 2023, recourt de plus en plus à l’offshoring pour pallier la pénurie de développeurs locaux – particulièrement dans les bassins d’Île-de-France (salaire médian développeur web : 46 000 € brut/an) et Métropole lyonnaise.
Les donneurs d’ordre français identifient trois risques principaux : la qualité du livrable, la gestion des délais et la communication interculturelle. Les ruptures de projet ou dépassements de planning concernent 21% des missions offshore depuis la France selon Maltem Consulting, contre 8% pour les projets entièrement nationaux. Les différents fuseaux horaires – notamment entre la France et l’Asie (5 à 8h de décalage) – complexifient la synchronisation quotidienne. Sur la partie juridique, attention aux réglementations RGPD : une étude Syntec Numérique souligne que moins de 40 % des agences offshore maîtrisent les standards européens de protection des données. Enfin, pour minimiser les risques, de grands groupes basés à Paris ou Lille collaborent avec des clusters d’agences référencés par la French Tech et bénéficient du soutien d’incubateurs pour l’encadrement documentaire et contractuel.
Les acteurs français du numérique privilégient historiquement trois zones géographiques pour l’offshoring web : l’Europe de l’Est (Pologne, Roumanie, Ukraine), l’Afrique francophone (Maroc, Tunisie, Sénégal) et l’Asie du Sud (Inde, Vietnam). En 2023, plus de 38% des projets externalisés par les PME/ETI françaises sont confiés au Maghreb, grâce à la proximité culturelle et linguistique, et à la présence de 3 000 développeurs diplômés chaque année au Maroc. L’Europe de l’Est attire par le vivier de profils full-stack maîtrisant les frameworks populaires (React, Symfony) et les standards européens de sécurité. L’Asie, si elle propose des tarifs ultraconcurrentiels (30 à 40% de moins que le Maghreb), reste moins sollicitée pour les applications exigeant une proximité culturelle ou des délais courts. Les clusters régionaux français, tels que Digital Aquitaine ou Medinsoft à Marseille, animent régulièrement des rencontres avec des partenaires offshore agrées.
En France, la supervision efficace d’équipes offshore passe par une structuration précise du pilotage projet. 62% des agences tricolores dédiées au développement web offshore emploient aujourd’hui des chefs de projet bilingues et certifiés Scrum ou Prince2. Ils planifient des sprints hebdomadaires et instaurent des points de contrôle qualité (QA) systématiques, avec audit de code et tests utilisateurs impliquant parfois des écoles d’ingénieurs (ex. Epitech, ESGI) dans les grandes métropoles. Les agences du Grand Ouest et d’Île-de-France, où le tissu numérique est le plus dense (38,5% des emplois IT en France), misent sur des pratiques de documentation poussées et un onboarding culturel soutenu. Grâce au cloud et aux outils collaboratifs (Jira, GitLab, Slack), le suivi du travail est désormais en temps réel, même à plusieurs fuseaux horaires de distance.
La clientèle française du développement web offshore est hétérogène : 48% des projets émanent de PME ou ETI selon France Digitale, souvent pour refondre leur plateforme e-commerce, développer des extranets ou lancer des applications métiers. Les startups, particulièrement dans les pôles French Tech Nation (Paris, Toulouse, Lyon, Nantes), externalisent principalement des MVP ou prototypes pour gagner en agilité et réduire leur burn-rate. Les grandes entreprises industrielles et les collectivités, notamment dans les Hauts-de-France et en région PACA, confient des interfaces internes ou des portails citoyens à des équipes offshore. En 2023, 15% des projets digitalisés publics intègrent une part d’offshore, traduisant l’ouverture du secteur public à cette pratique. Cette diversité d’acteurs contribue à une croissance généralisée de la demande, estimée à +5,7% par an sur le segment « développement offshore » en France depuis 2020.
Selon une enquête Club Décision DSI, les frameworks open-source constituent la majorité des stacks techniques : React, Angular et Vue.js pour le front, Node.js, Symfony, Laravel et Django pour le back. 69% des agences offshore sollicitées par les entreprises françaises réalisent des développements avec ces outils. Les demandes en e-commerce s’appuient surtout sur Magento ou Prestashop, largement enseignés dans les centres de formation comme le Wagon ou la Wild Code School, présents dans les principales villes françaises. Pour l’intégration continue et la sécurité, l’usage de GitLab ou Jenkins s’est généralisé. Enfin, en 2023, la transition vers des architectures cloud (AWS, Azure), déjà présente dans 44% des projets offshore pilotés par des agences françaises, s’accélère dans l’industrie, notamment à Lyon et Lille, deux hubs numériques majeurs du territoire.
La maîtrise de l’anglais technique est désormais incontournable pour les projets offshore, d’autant que 86% des développeurs opérant hors de France communiquent exclusivement dans cette langue. Les agences françaises adaptent leur management en recrutant des chefs de projet bilingues et en imposant la rédaction des spécifications et de la documentation en anglais. Cela concerne particulièrement les agences basées dans les grandes métropoles, où 72% des profils tech ont déjà un niveau d’anglais opérationnel (source : Apec 2023, salaire moyen développeur bilingue : 50 400 € brut/an en Île-de-France). Cette pratique favorise également la collaboration avec des freelances situés en Europe de l’Est ou en Asie, zones parmi les plus actives. Les écoles françaises du numérique, telles que l’EPITA ou l’INSA Lyon, renforcent d’ailleurs les modules d’anglais et de gestion interculturelle dans leurs cursus d’ingénierie web.
La dynamique reste fortement haussière : selon Numeum, en 2023, plus d’un quart des DSI de grandes entreprises françaises ont accru leurs budgets externalisation, et le marché du développement web offshore pèse désormais plus de 450 millions d’euros à l’échelle nationale. L’Île-de-France, la région Auvergne-Rhône-Alpes et l’Occitanie sont les premiers pourvoyeurs de projets numériques offshores, portées par la densité de leur tissu de startups et la présence de clusters dédiés (comme Digital League à Lyon). Le secteur souffre toutefois d’une tension persistante sur les profils devs nationaux : malgré la formation de 12 000 jeunes diplômés numériques par an, la demande excède l’offre de 25% selon France Travail. Pour 2024, les perspectives d’automatisation, l’essor du no-code/low-code et la généralisation du cloud devraient encore booster les volumes de projets délégués à l’offshore, tout en poussant les agences françaises à intensifier le pilotage et la supervision de ces équipes internationales.