Comparatif des meilleurs logiciels de facturation pour l'industrie

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Sellsy

Boostez votre business avec Sellsy : l'outil tout-en-un pour une gestion client et facturation sans faille. Optimisez vos ventes, simplifiez votre comptabilité et engagez efficacement vos prospects avec notre suite CRM complète. Faites le choix de l'efficacité et de la croissance pour votre PME ou startup avec Sellsy. Cliquez pour transformer votre gestion d'entreprise.
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Sage

Optimisez votre gestion d'entreprise avec Sage : le logiciel ERP qui allie performance, facilité d'utilisation et adaptabilité. Que vous visiez une gestion intégrée ou une amélioration de la prise de décision, Sage s'ajuste à vos besoins tout en offrant une expérience utilisateur intuitive et un support client réactif. Transformez votre entreprise avec Sage.
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Zoho invoice

Zoho Invoice est un logiciel de facturation en ligne conçu pour simplifier la gestion des factures, des devis, des paiements et des dépenses pour les petites entreprises et les freelances. Il offre une interface intuitive et une gamme complète de fonctionnalités pour automatiser les processus de facturation et améliorer l’efficacité opérationnelle. À qui s’adresse le...
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Fonctionnalités8/10
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Dolibarr

Découvrez Dolibarr, l'ERP open source conçu pour dynamiser la gestion de votre entreprise, quelle que soit sa taille. Avec sa modularité époustouflante, personnalisez vos outils de gestion de CRM à la logistique. Simple, intuitif et accessible via le web, Dolibarr transforme la complexité en simplicité. Rejoignez une communauté active pour une expérience optimisée.
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Odoo

Découvrez Odoo, l'ERP robuste conçu pour dynamiser la gestion de votre parc automobile et bien plus. Avec ses solutions avancées en finance, ventes, CRM, et gestion de la chaîne d'approvisionnement, Odoo simplifie les opérations pour les moyennes et grandes entreprises. Transformez votre gestion d'entreprise avec Odoo, où efficacité et innovation se rencontrent.
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Sommaire
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Cycles longs, livraisons étalées, factures d’acompte, bons de commande, gestion des marges ou des lignes produits à rallonge… dans l’industrie, on est loin de la facture standard d’un freelance.

👉 Et avec la réforme de la facturation électronique qui arrive à grands pas, plus question de bricoler des fichiers Excel ou d’envoyer des PDF maison.

La vraie question c’est : avez-vous un outil capable de suivre votre rythme de production, vos flux commerciaux… et les règles de Bercy ?

Bonne nouvelle : il existe des solutions taillées pour les boîtes industrielles. Certaines ultra-spécialisées, intégrées à des ERP. D’autres plus agiles, plus modernes, comme Sellsy, qui s’impose de plus en plus dans les TPE-PME industrielles — à la croisée de la facturation, du CRM et du pilotage financier.

Dans cet article, on vous partage :

  • Ce qui rend la facturation particulièrement complexes dans l’industrie ;
  • Les vrais critères à regarder (au-delà du badge “conforme 2026”) ;
  • Notre sélection des meilleurs outils prêts à encaisser vos flux complexes sans friction.

Facturation & industrie : pourquoi c’est souvent la galère

Si vous êtes dans l’industrie, vous le savez mieux que personne : facturer, ce n’est jamais “juste” envoyer un document avec un total en bas.

Ça se joue sur plusieurs fronts : production, logistique, achats, ventes… et bien sûr, trésorerie. Et dans ce genre d’environnement, le moindre bug de facturation peut gripper toute la machine.

Vos cycles de vente ne rentrent pas dans des cases

Acompte au démarrage, factures d’avancement en cours de projet, solde final à la livraison…

Si votre outil ne sait pas gérer ça en natif, vous finissez avec 3 fichiers Excel, 2 relances clients, et 1 facture foireuse. Sans parler du temps perdu à tout réconcilier à la main.

Vos prix bougent, vos volumes aussi

Une remise sur quantité, une matière première qui flambe, un conditionnement qui change… Bienvenue dans la réalité industrielle.

Si votre logiciel de facturation ne sait pas suivre, vous passez vos journées à corriger des erreurs au lieu de piloter votre activité.

Vos projets ne se facturent pas “à la tâche”

Dans beaucoup de cas, vous devez facturer à l’avancement : selon un jalon, une étape de prod, une validation client… Pas juste “livré = payé”.

Un bon outil doit donc pouvoir se caler sur vos rythmes de production, pas l’inverse.

Vos équipes bossent déjà avec d’autres outils (ERP, GPAO, compta…)

Si votre facturation n’est pas bien branchée au reste, vous perdez un temps fou en ressaisie, en imports manuels, ou en validations croisées.

Vous avez besoin d’un outil qui parle avec vos systèmes existants, pas d’un truc isolé à gérer en parallèle.

👉 En clair : si votre logiciel de facturation ne colle pas à votre réalité terrain, c’est vous qui vous adaptez à lui. Et c’est là que les ennuis commencent.

Comment choisir un bon logiciel de facturation quand on bosse dans l’industrie ?

Vous avez besoin d’une solution qui tient la route quand il faut facturer un projet à mi-parcours, suivre les remises sur quantité, ou aligner factures et livraisons sans vous arracher les cheveux.

Voilà les 6 vrais critères à avoir en tête quand vous choisissez une solution de facturation en environnement industriel.

Prêt pour la réforme 2026

C’est non négociable. À partir de 2026, toutes les factures B2B devront passer en format structuré (Factur-X, UBL…) via une plateforme agréée (PDP ou PPF).Certains outils sont déjà prêts. D’autres sont encore dans les starting blocks.

💡 Gagnez du temps (et du stress) : partez directement sur une solution conforme.

Gestion de la facturation d’avancement

Un incontournable dans l’industrie. Vous devez pouvoir générer des factures par jalon, par % d’avancement ou en plusieurs temps — sans tout ressaisir.

Et évidemment, tout ça doit rester propre, traçable, aligné avec la prod et les engagements clients.

Tarification flexible & personnalisable

Vos prix ne sont pas gravés dans le marbre. Remises par paliers, variations de coût matière, frais de port… 

Il vous faut un outil capable de s’adapter à vos règles de gestion tarifaire, pas une solution rigide avec une ligne “produit = prix fixe”.

Intégrations ERP / GPAO / compta

Un bon logiciel de facturation doit parler avec votre existant :

  • ERP type Odoo, Clipper, Divalto, Sylob…
  • logiciels comptables (Sage, ACD, Cegid…)
  • outils de gestion de prod ou CRM

Sinon, c’est de la double saisie, des erreurs humaines… et une perte de temps énorme.

Visibilité sur la trésorerie et les marges

Facturer c’est bien. Voir ce qui a été payé, ce qui traîne, ce qui va rentrer dans 30 jours, c’est mieux.

Choisissez un outil qui vous donne une vision claire de la tréso : encaissements, échéances, soldes clients, marges par projet…

Sécurité, hébergement et support local

Dans l’industrie, les données sensibles ne manquent pas : prix de revient, clients grands comptes, volumes produits…

Assurez-vous que l’outil est hébergé en France ou en Europe, avec un vrai support local (pas juste un chatbot ou une FAQ vide).

Les meilleurs logiciels de facturation électronique pour l’industrie

Sellsy – L’outil agile qui coche (presque) toutes les cases

Sellsy, ce n’est pas un ERP. Mais pour beaucoup de PME industrielles, c’est exactement ce qu’il faut pour reprendre la main sur la facturation, les paiements et le pilotage client — sans plonger dans une usine à gaz.

Pourquoi ça colle à l’industrie :

  • Facturation d’avancement intégrée — parfait pour projets étalés ou jalonnés ;
  • Compatible e-invoicing (Factur-X, PDP, tout ce qu’il faut pour 2026) ;
  • Relances automatiques, gestion des échéances, page de paiement en ligne ;
  • Connexion possible à votre ERP ou outil métier via API, exports, ou connecteurs comptables ;
  • Pilotage clair : balance âgée, vue trésorerie, marge, encaissements en temps réel.

💡 Le plus ?
Sellsy intègre aussi un CRM complet, une gestion des devis, un catalogue produits avec déclinaisons, un suivi des marges, et même une couche d’IA pour automatiser les emails et les résumés de fiches clients. Bref : tout ce qu’il faut pour vendre, facturer et suivre sans s’éparpiller.

🎯 Pour qui ?
Les PME industrielles qui veulent centraliser la facturation, le pilotage client et les encaissements — tout en gardant leur ERP métier en back-office.

Open-Prod – L’ERP français taillé pour les boîtes qui fabriquent (vraiment)

Open-Prod, c’est pas un outil de facturation plan-plan. C’est un ERP complet, conçu pour les entreprises industrielles qui ont des vrais flux de production à gérer. Et qui veulent que la facturation colle à la réalité de l’atelier, pas juste à ce qu’a signé le commercial.

Ce qu’on aime :

  • Une vraie logique production > livraison > facturation, sans friction ;
  • Génération auto des factures dès validation du BL, avec pré-compta intégrée ;
  • Modules stock, qualité, achats, prod, marges… tout parle ensemble ;
  • Édition de factures structurées (XML, EDI), prêt pour la réforme 2026.

🎯 Pour qui ? Les PME industrielles déjà structurées, avec une vraie logique ERP, et qui veulent garder la main sur toute la chaîne — sans se taper SAP.

SetInUp – L’ERP industriel qui va à l’essentiel

Pas besoin d’un ERP à 200K€ pour structurer vos flux. SetInUp, c’est la version pragmatique : CRM, stock, devis, factures, production, tout dans le même outil — et ça tourne.

Ce qu’on aime :

  • Interface claire et actionnable, pas pensée par des ingénieurs pour des ingénieurs ;
  • Vous partez d’un devis, vous finissez sur une facture conforme, avec stock mis à jour et marge visible ;
  • Prêt pour l’e-invoicing, sans module caché à 12K€.

🎯 Pour qui ? Les TPE/PME industrielles qui veulent un ERP fonctionnel, rapide à prendre en main, et qui ne les enterre pas sous les paramétrages.

Dolibarr – Le choix open source quand on veut tout maîtriser

Dolibarr, c’est un peu le Lego de l’ERP. Open source, modulaire, adaptable. Pas très sexy à première vue, mais si vous aimez bidouiller ou bossez avec un intégrateur malin, ça peut faire le job.

À quoi s’attendre :

  • Devis, factures, stock, prod, compta… si vous activez les bons modules ;
  • Compatible Factur-X via modules tiers (ça demande un peu de config) ;
  • À vous de choisir jusqu’où vous allez dans la customisation.

🎯 Pour qui ? Les boîtes industrielles à l’aise avec le sur-mesure, qui veulent garder la main sur leur outil, et ne pas dépendre d’un éditeur unique.

Odoo (via intégrateurs) – L’ERP ultra-flexible… si vous avez le bon partenaire

Odoo, c’est un peu le couteau suisse de l’ERP open source. Il peut tout faire — production, stock, facturation, compta, CRM… Mais soyons honnêtes : sans un intégrateur compétent, vous risquez de vous noyer dans les modules.

Ce qu’on retient :

  • Gère bien les cas complexes (multi-entrepôts, nomenclatures, jalons, remises par volume) ;
  • La facturation peut suivre la prod, les livraisons ou les contrats cadre ;
  • e-invoicing possible via modules ou prestataires externes (Factur-X, PDP, etc.) ;
  • Gros écosystème d’intégrateurs, mais qualité variable.

🎯 Pour qui ? Les boîtes industrielles avec un budget solide et un besoin de sur-mesure. Et surtout, un intégrateur qui connaît bien l’industrie.

Sage 100 / Sage X3 – Du costaud, mais faut aimer les ERP à l’ancienne

Sage, c’est du classique. C’est stable. C’est puissant. Mais c’est rarement fun à utiliser.
Cela dit, côté industrie, Sage 100 Gestion & Prod ou X3 font le boulot sérieusement : GPAO, stock, achats, multi-sites, analytique… tout est là.

Pourquoi on l’inclut :

  • Gestion fine des coûts de revient, planification, livraisons, BL > factures ;
  • Modules de facturation très paramétrables, compatibles e-invoicing ;
  • Intégration native avec la plupart des cabinets comptables français.

Le hic ? L’interface, souvent datée. Et le coût de déploiement.

🎯 Pour qui ? Les PME industrielles bien structurées, avec des équipes dédiées, et qui veulent un ERP full-service, même si c’est un peu old-school.

VIF ERP – Le choix des industriels du process (agro, chimie, pharma)

VIF n’est pas aussi connu que Sage ou Odoo, mais dans l’industrie de process, c’est un acteur solide.
L’ERP est pensé pour les secteurs où la traçabilité, la qualité et la planification sont critiques.

Ce que ça gère bien :

  • Facturation intégrée à la chaîne logistique/production ;
  • Suivi des lots, qualité, traçabilité réglementaire (HACCP, ISO…) ;
  • Vision fine des marges, coûts de production et prévisions de flux ;
  • Conformité e-invoicing assurée via modules intégrés.

🎯 Pour qui ? Les industriels qui bossent en process et pour qui la traçabilité est aussi importante que le chiffre d’affaires.

Pourquoi Sellsy sort du lot pour l’industrie ?

Avec Sellsy, vous ne vous contentez pas d’émettre une facture. Vous gérez la relation client, vous pilotez vos encaissements, et vous alignez votre gestion commerciale avec vos flux industriels.

Facturer proprement, encaisser rapidement

Dans une PME industrielle, une facture mal envoyée ou mal suivie peut vite bloquer un paiement à 30, 60 ou 90 jours.

Sellsy automatise ce qu’on oublie souvent de faire à temps :

  • Factures 100 % conformes à la réforme (Factur‑X, PDP — c’est prêt) ;
  • Envoi automatisé, suivi de lecture, relances programmables (finis les “je l’ai pas reçue”) ;
  • Page de paiement en ligne, lien direct avec Stripe, GoCardless, virement, etc. ;
  • Balance âgée claire, pour savoir à tout moment qui doit quoi.

👉 Résultat : vous réduisez les délais de paiement sans devoir relancer à la main.

Un outil qui colle à vos cycles industriels

Vous bossez par projet, en lots, en série ou à l’avancement ? Pas de problème.

Sellsy gère :

  • La facturation d’avancement, pour émettre une facture selon l’état réel du projet ou de la livraison ;
  • La transformation instantanée d’un devis en facture, dès que le bon de commande est signé ;
  • Les bons de commande, bons de livraison, factures proforma — tout le cycle est couvert.

Et si vous avez plusieurs typologies de produits ou déclinaisons (tailles, matières, séries…), le catalogue produit vous évite les ressaisies à répétition.

Une facturation connectée à votre back‑office

Sellsy n’a pas vocation à remplacer un ERP de production. Mais il s’intègre parfaitement avec votre existant : exports comptables propres, API ouverte, connecteurs vers vos outils de compta, banques, signature électronique… et bientôt les PDP officielles.

💡 En clair : Sellsy prend la main sur la partie “client + facturation + relance” pendant que votre ERP gère les flux internes.

Trésorerie, pré-compta, pilotage : tout est aligné

Pas besoin de sortir 4 tableaux pour comprendre où vous en êtes. 

Sellsy vous affiche clairement :

  • Votre chiffre d’affaires signé, facturé, encaissé ;
  • Les factures en retard, les encaissements à venir ;
  • Une pré-compta exportable proprement pour votre expert-comptable.

Et pour ne rien gâcher : tout est pensé pour être utilisé facilement par une équipe commerciale, admin ou back-office, sans avoir besoin de plonger dans un ERP.

Et maintenant, l’IA passe à l’action

Avec Sellsy IA, vous allez plus vite :

  • Résumés automatiques de fiches clients pour les commerciaux ;
  • Modèles d’emails de relance générés en un clic (et bien tournés) ;
  • Amélioration des écrits (devis, mails, relances…) avec un vrai gain de temps.

C’est comme si vous aviez un assistant qui anticipe les relances, affine la communication, et vous évite les oublis.

Conclusion : bien facturer, c’est stratégique (surtout dans l’industrie)

Dans l’industrie, la facturation est tout sauf un détail. C’est ce qui connecte la prod, la logistique, le commerce… et la trésorerie.

Un outil mal choisi, c’est des délais de paiement qui s’allongent, des relances qui tombent à l’eau, et des erreurs qui plombent vos marges.

👉 La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des solutions qui collent vraiment aux réalités du terrain industriel :

  • des ERP complets si vous voulez tout centraliser (Open‑Prod, SetInUp, Sage…) ;
  • des outils plus agiles comme Sellsy, qui prennent la main sur la facturation, la relation client et les encaissements — sans casser votre existant.

Le bon choix, ce n’est pas “le plus complet” ou “le plus connu”. C’est celui qui s’adapte à votre façon de bosser, qui anticipe la réforme 2026, et qui vous fait gagner du temps sans perdre le contrôle.

En 2026, vous n’aurez plus le luxe d’improviser. Autant poser les bases maintenant — avec les bons outils, et les bons réflexes.

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