Le guide complet pour créer un site web multilingue

17 min de lecture
Mis-à-jour par Camille Durand le 16 juillet 2025
Sommaire
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Créer un site web multilingue ajoute forcément un peu de complexité à votre projet web. Pour vous aider à bien préparer votre projet, nous allons passer en revue les différentes possibilités qui s’offrent à vous. Car oui, il existe plusieurs manières de créer un site web multilingue.

Dans cet article, nous allons commencer par vous présenter les différentes solutions techniques possibles pour créer un site web multilingue. Nous détaillerons ensuite les options qui s’offrent à vous pour la traduction : agence, freelance ou service de traduction (semi-)automatisée.

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Les différentes solutions possibles pour créer un site web multilingue

Il y a plusieurs manières de créer un site web multilingue. Voici les principaux arbitrages à réaliser au début de votre projet.

1 langue = 1 sous-domaine ? 1 extension ? 1 sous-répertoire ? 1 domaine ?

Avant d’examiner les avantages et les inconvénients de l’utilisation de sous-domaines ou de sous-dossiers, examinons chaque option et comprenons de quoi il s’agit.

Option n°1, les sous-domaines

Les sous-domaines sont un domaine secondaire que vous pouvez ajouter à votre domaine principal. Par exemple, si votre domaine principal est exemple.com, votre sous-domaine peut être fr.exemple.com. Un seul domaine peut avoir jusqu’à 100 sous-domaines (enregistrements DNS). Par exemple, un site web connu qui utilise des sous-domaines pour leur version multilingue, est la marque Puma. Vous pouvez constater que Puma crée des sous-domaines pour les différents pays où il opère :

  • fr.puma.com
  • us.puma.com
  • in.puma.com
  • es.puma.com

Vous pouvez facilement voir comment la première partie de l’URL (sous-domaine) change avec la région.

Option n°2, les sous-répertoires

Un sous-répertoire, c’est comme un sous-dossier de votre domaine principal. Quelques exemples de sous-répertoire sont exemple.com/fr, exemple.com/de, exemple.com/es, etc. Nous allons à nouveau considérer une autre marque de sport célèbre, Nike. Voyons comment Nike sépare ses pages pour ses sites multilingues :

  • www.nike.com/fr/
  • www.nike.com/de/
  • www.nike.com/es/

Vous voyez comment Nike utilise les sous-répertoires au lieu d’utiliser des sous-domaines. Si les deux options fonctionnent correctement, quelle est la raison pour laquelle il existe une telle polarisation entre les sous-domaines et les sous-répertoires ? En ce qui concerne la complexité, les sous-répertoires sont sans aucun doute les plus faciles à créer. En effet, il n’y a pas de délai réel dans la configuration d’un sous-répertoire. On ne peut pas en dire autant de la configuration d’un sous-domaine. Le processus implique généralement la connexion à votre fournisseur d’hébergement et l’ajout d’un nouveau sous-domaine à votre domaine existant. Si vous n’êtes pas familier avec cela, la quantité de travail peut être importante.

Lequel est le plus simple d’un point de vue navigation ?

Un site Web ce n’est pas seulement la page principale. Il contient de nombreuses sous-pages composées de pages et de sous-catégories individuelles (qui sommes-nous, politique de confidentialité, conditions générales, etc.). Imaginez maintenant que vous devez ajouter 20 autres pages différentes s’adressant au public de 20 langues différentes. Cela devient un problème lorsque vous créez un site Web. Il est presque impossible de créer un site épuré avec autant de pages. Cependant, les choses deviennent plus faciles lorsque vous avez des sous-domaines pour chaque langue. Il n’y a pas besoin d’une catégorie distincte. Deuxièmement, cela donne plus de place pour d’autres pages ou plus de variétés de contenu. Ainsi, lorsque vous planifiez un site multilingue qui comprend de nombreuses langues, vous ferez mieux d’utiliser un sous-domaine plutôt que des sous-répertoires. Cela rendra le processus de gestion des différents sites beaucoup plus facile.

Vous ciblez des pays / régions ou simplement des groupes linguistiques ?

C’est un facteur très important à considérer. Avoir des sous-domaines pour répondre à un petit groupe est exagéré. Dans ce cas, il est préférable de créer des sous-répertoires. Si vous avez besoin d’afficher votre page en deux ou trois langues, il n’y a aucun mal à utiliser les sous-répertoires. Ils ne prendront pas beaucoup de place et vous pourrez tous les gérer à partir d’un seul tableau de bord. Lorsque vous souhaitez que votre site Web s’adresse à un public international, composé de différents pays ou régions, avoir des sous-domaines est parfaitement logique. Étant donné que les sous-domaines agissent comme des sites Web distincts, ce sont d’excellentes options spécifiques au pays. Lorsque vous ciblez plus de 10 langues ou plusieurs pays, les sous-domaines offrent un aspect beaucoup plus net. En outre, chaque pays ou langue aura un site Web personnalisé qui leur sera adapté. Vous pouvez dire à Google que vous avez attribué un sous-domaine à une région spécifique à l’aide des attributs hreflang.

hreflang

L’avantage majeur de l’utilisation de hreflang est qu’il supprime la possibilité que Google signale votre contenu comme doublon. Vous pouvez implémenter hreflang en HTML, HTTP ou en tant que sitemap XML.

Qui est en charge du site Web ?

Les sous-domaines sont très efficaces lorsque vous souhaitez déléguer des responsabilités au sein d’un site multilingue. Chaque sous-domaine peut avoir ses propres rédacteurs, éditeur et modérateurs. Les paramètres du site seront distincts; les blogs et le contenu d’autres versions linguistiques n’interféreront pas les uns avec les autres. Même si les sous-répertoires offrent différentes manières d’accueillir les éditeurs, ils doivent tous utiliser le même portail pour accéder au site Web. En terme de confort, c’est loin d’être l’idéal.

Quel est votre objectif à long terme ?

Demandez-vous ce que vous espérez réaliser à l’avenir avec votre site. Allez-vous vous développer dans plus de pays ou plus de régions ? Y aura-t-il des entreprises distinctes liées au site Web principal, comme une boutique ecommerce ou un forum de discussion ? Si la réponse est oui, alors avoir un sous-domaine ou des sous-domaines est la bonne voie à suivre.

Qu’en est-il du référencement ?

Les débats sur l’impact SEO des sous-domaines versus sous-répertoires ont évolué. Google indique désormais que ses algorithmes traitent les deux structures de façon similaire, à condition que l’indexation soit correctement configurée et que les signaux SEO (liens internes, sitemap, hreflang) soient bien mis en place. Le choix dépend donc davantage de la facilité de gestion et de la stratégie de contenu que d’un avantage SEO intrinsèque.

Que dit Google à ce sujet ?

Google a publié une vidéo où John Mueller, analyste des tendances pour les webmasters chez Google, a expliqué comment Google traite à la fois les sous-domaines et les sous-répertoires. Il a précisé que Google ne fait pas de distinction entre les deux en utilisant des paramètres différents. Il a déclaré que les robots Google sont désormais suffisamment intelligents pour connaître la différence entre les deux et peuvent identifier qu’ils proviennent de la même entité. Il termine la vidéo en disant que le choix entre les deux dépend finalement de vos préférences et du plan à long terme que vous avez en tête.

Les autres options

Sous-domaine ou sous-répertoire ? Il existe également une 3ème option : celle-ci consiste à choisir une extension de domaine (un top level domain) par langue. Par exemple, www.exemple.fr, www.exemple.ru, www.exemple.es etc. Cette option présente certains avantages comme :

  • L’endroit où le site Web est hébergé n’est pas pertinent pour les classements de recherche
  • Les visiteurs de votre site sauront exactement où il se trouve. Pour un site ecommerce, cela peut aider les clients potentiels
  • Les algorithmes des moteurs de recherche savent quel pays le site cible.

Cela dit, les TLD présentent également quelques inconvénients.

  • Vous devrez utiliser des stratégies SEO alternatives pour chacun des différents TLD
  • Il est difficile à administrer et coûteux à mettre en œuvre. Il faudra enregistrer et héberger les domaines séparément
  • Il y a plus de chances que votre domaine soit pris lors de l’obtention des nombreux TLD.

Il existe également une 4ème option qui consiste à utiliser un nom de domaine différent pour chaque langue. Par exemple, www.lafabriquedunet.fr pour la version française ou www.the-web-laboratory.com pour la version anglaise, etc. C’est une option que nous déconseillons car cette approche nécessite une plus grosse infrastructure et est donc plus complexe à gérer.

Comment gérer le multilingue d’un point de vue technique ?

Maintenant que vous avez choisi entre sous-domaine, sous-répertoire ou encore extension de domaine, voyons ensemble la gestion d’un site multilingue d’un point de vue technique :

Option n°1 : vous créez des contenus différents pour chaque site web.

Certains contenus peuvent être identiques mais traduits notamment au niveau des pages statiques comme « Qui sommes-nous ? Page d’accueil, Mentions légales, » etc.. Mais l’essentiel, c’est d’avoir des contenus uniques (les articles du blog par exemple). Dans ce cas, la problématique de la traduction se pose moins.

Option n°2 : les contenus sont identiques d’un site à l’autre, seule la langue change.

Dans ce cas-là, vous pouvez utiliser un plugin / module pour semi-automatiser la traduction de la langue de référence (le français par exemple) vers les autres langues. L’ensemble des pages des sites en versions étrangères sont simplement des traductions des pages de la version française.

translatepress-wordpress-plugin (1)

 

Des plugins comme TranslatePress ou WPML sont aujourd’hui parmi les solutions les plus utilisées pour gérer la traduction de sites WordPress. De plus, des outils comme Weglot sont de plus en plus adoptés pour leur simplicité d’intégration et leur compatibilité avec de nombreux CMS. Ces solutions permettent de sélectionner le texte à traduire, de choisir la langue cible, et automatisent une grande partie du processus tout en offrant des options de relecture humaine.

Entre l’option n°1 et l’option n°2, il n’y en a pas de bonne ou de mauvaise. La plupart du temps, vous devrez mixer entre les deux.

Comment traduire son site web – Agences ? Freelances ? Automatisation ?

Pour traduire ou faire traduire son site web, vous avez trois options principales qui s’offrent à vous :

Choisir une agence de traduction – 0,12 à 0,20 euro / mot source

Les agences de traduction comme Traductec, Betranslated ou encore Atenao sont nombreuses sur le marché. Vous n’aurez que l’embarras du choix. Maintenant, il faut savoir que cette solution est très souvent la plus coûteuse des trois. Faire appel à des professionnels de la traduction a un coût, mais votre traduction sera probablement la meilleure que vous trouverez sur le marché. Coté tarif, comptez entre 12 et 20 centimes d’euro par mot source en fonction du nombre de mot que vous avez à traduire. Bien évidemment, plus vous avez de texte, plus le prix au mot source est bas.

Attention !
Il s’agit ici de tarifs moyen. Certaines agences plus réputées peuvent facturer plus cher.

Vous vous demandez peut-être ce qu’est un mot source ? Les mots sources sont les mots qui composent le texte à traduire. Ils s’opposent aux mots cibles qui désignent les mots qui constituent la traduction.

Faire appel à un traducteur en freelance – 0,05 à 0,15 euro / mot source

La plupart du temps, si vous faites appel à un traducteur freelance, vous paierez moins cher qu’avec une agence. La plupart du temps seulement, car il peut arriver que des professionnels ayant travaillés avec des agences travaillent désormais en freelance. La qualité de traduction sera alors équivalente et vous le verrez sur le prix final. Il faut donc compter entre 5 et 15 centimes par mot source. Comme nous avons commencé à le mentionner, il y a deux paramètres principaux qui influent sur cette différence de prix :

  • La réputation du freelance
  • Le volume de mots à traduire

La complexité technique du texte à traduire peut également influer sur le prix final. Maintenant que vous en savez un peu plus sur les tarifs, comment faut-il contacter les freelances ? Vous avez deux pistes à privilégier :

  • Entrez directement en contact avec le freelance. Il existe des plateformes mondiales de freelancing comme Malt, Upwork ou Fiverr. Ces plateformes vous permettent d’accéder à de nombreux profils détaillés (expérience, formation, tarif, compétences, etc.) et ainsi de choisir celui qui vous semble le plus adéquat.

traduction-malt

  • Passez par des plateformes comme Textmaster, Textbroker ou ProZ qui travaillent avec des réseaux de freelances spécialisés dans la traduction. Vous créez un compte, expliquez le détail de votre projet et la plateforme se charge de vous trouver le freelance parfait pour vous. Ces plateformes ont l’avantage de réduire les risques en ne vous proposant que des profils qualifiés.
textmaster
De 8 à 16 centimes par mot, voici les tarifs pratiqués par Textmaster

Utiliser une plateforme de traduction semi-automatisée – 0,02 à 0,08 euro / mot source

Pour finir, voici la solution la plus économique des trois pour traduire les textes de votre site web. Comptez en 2 et 8 centimes par mot source. Encore une fois, les tarifs varient nettement d’une plateforme à l’autre. La plupart du temps, les formules par abonnement comprennent :

  • Un nombre X de langues
  • Un nombre X de mot traduit automatiquement.
  • Une relecture par des traducteurs humains … d’où la notion de « semi-automatisée ».

Cette option, historiquement moins qualitative en raison du recours à la traduction automatique, bénéficie aujourd’hui d’améliorations notables grâce à l’intégration de l’intelligence artificielle générative. Les plateformes modernes proposent des traductions automatiques de meilleure qualité, souvent complétées par une relecture humaine pour garantir la cohérence et la pertinence du contenu.

Quel prestataire devrais-je choisir pour la traduction de mon site web multilingue ?

Pour finir, vous vous demandez peut-être quelle option des trois vous devriez choisir ? Sans surprise, cela dépend de vos besoins, mais aussi de vos moyens :

  • Si vous n’avez pas de temps à consacrer à la traduction et que vous recherchez la meilleure qualité possible, alors ayez recours à une agence. Vous n’aurez pas de mauvaise surprise, que ce soit au niveau de la qualité du texte traduit ou encore des délais de traitement.
  • Pour obtenir un travail de qualité, vous pouvez également travailler avec un freelance. Le risque ici, est de tomber sur un freelance qui ne réponde pas entièrement à vos attentes. Si vous voulez vous éviter le gros travail de recherche et de sélection du freelance, inscrivez-vous sur un site comme Textmaster qui fera ce travail pour vous. Une économie de temps et d’argent est à la clé.
  • Si vous souhaitez ne pas investir énormément d’argent dans la traduction de votre site multilingue, vous pouvez passer par une plateforme semi-automatisée. Evidemment, vous n’aurez pas le même rendu et la même qualité qu’avec une agence ou un freelance spécialisé. Cependant, depuis plusieurs années, ces sites se sont développés pour offrir un rendu très correct qualitativement.

Questions fréquentes

Quels sont les principaux écueils rencontrés lors de la mise en place d’un site multilingue ?

Quand on accompagne des clients sur des projets multilingues, on tombe quasi systématiquement sur des problématiques de synchronisation des contenus. Par exemple, il est fréquent qu’une mise à jour en français n’arrive jamais sur la version anglaise faute de workflow clair. Un autre point critique : la gestion des URL et du SEO international. Plusieurs entreprises que j’ai conseillées ont perdu du trafic organique en négligeant la configuration des hreflang ou en dupliquant involontairement des pages. Enfin, la collaboration entre équipes, traducteurs et développeurs est souvent sous-estimée. Sans gestion centralisée des traductions, on observe rapidement des incohérences, voire des retards de plusieurs semaines sur les versions secondaires du site.

Faut-il privilégier une extension multilingue ou un CMS natif pour gérer plusieurs langues ?

D’après ce qu’on a constaté sur le terrain, le choix dépend surtout de la complexité et de la pérennité du projet. Pour des sites institutionnels de taille moyenne, des extensions WordPress comme WPML ou Polylang offrent une vraie flexibilité et une courbe d’apprentissage raisonnable pour les équipes marketing. Mais dès qu’on atteint des besoins avancés – gestion de plusieurs domaines, synchronisation automatique, ou intégration de flux – les clients préfèrent migrer vers des CMS avec gestion multilingue native type Drupal ou TYPO3. Cela évite les bricolages et réduit le risque de bugs lors des montées de version. Un client e-commerce a même vu ses coûts de maintenance baisser de 20% après avoir adopté un CMS natif multilingue.

Comment assurer la cohérence des traductions sur toutes les pages du site ?

Sur le terrain, la cohérence des traductions repose souvent sur l’utilisation d’outils de gestion centralisée et sur des guidelines claires. Plusieurs PME que j’ai aidées ont gagné en homogénéité en utilisant des plateformes collaboratives type Lokalise ou Weglot, qui permettent de suivre l’avancement traduction par traduction. Une bonne pratique vue chez un acteur du tourisme : créer un glossaire partagé entre les traducteurs et l’équipe marketing. Cela évite que le même terme soit traduit de trois façons différentes selon la page. Enfin, il faut anticiper les cycles de validation – en particulier quand le site évolue vite – pour ne pas publier des pages incomplètes ou inadaptées à certains marchés.

Quelles sont les meilleures pratiques pour optimiser le référencement d’un site en plusieurs langues ?

On a remarqué que le SEO multilingue est trop souvent abordé trop tard dans le projet. La meilleure approche, c’est d’intégrer dès le départ la gestion des balises hreflang et de veiller à un maillage interne propre pour chaque langue. Par exemple, un client dans le secteur SaaS s’est retrouvé à cannibaliser son trafic anglais à cause de versions traduites indexées sous des sous-domaines mal paramétrés. Autre conseil terrain : personnaliser les méta descriptions et titres par langue, plutôt que de les traduire littéralement. Cela a boosté le taux de clics de 15% chez un site e-commerce que nous accompagnons. Enfin, il ne faut pas négliger l’analyse régulière du trafic par langue via Search Console pour corriger rapidement les erreurs d’indexation.

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