1 agences disponibles en GEO

Les meilleures agences GEO en France

Trouvez l'agence parfaite pour votre projet.

100%
Gratuit et sans engagement
3 min
Déposez votre projet
4.8/5
Note moyenne clients
Ils nous font confiance :
Trouver l'agence idéale

Prend 3 minutes. 100% gratuit.

Trouver mon agence

Nous structurons automatiquement votre brief pour le rendre exploitable par les agences. 100% gratuit et sans engagement.

Découvrez les meilleures agences GEO en France sélectionnées pour leur savoir-faire et leur maîtrise pointue des spécificités géographiques du territoire. Les agences présentées ici réunissent l’expertise technique et la connaissance approfondie du contexte français, indispensables pour accompagner vos projets et maximiser leur impact localement. Grâce à une sélection rigoureuse réalisée par La Fabrique du Net, vous bénéficiez de partenaires fiables, capables de s’adapter à vos exigences et d’apporter des solutions sur mesure à chaque étape de votre démarche GEO. Parcourez notre sélection pour identifier l’agence qui saura répondre à vos ambitions en France, en toute confiance et avec l’assurance de profiter des compétences les plus pertinentes du marché local.

agences (filtrées)

Liste de toutes les agences de GEO en France

Ekko Media

Située à Paris
Créée en 2005
10 collaborateurs
Dernière activité le 17 décembre 2025

Atteignez vos objectifs business

Accélérez vos ventes et votre génération de leads en développant le trafic organique qualifié sur votre site web
Accélérez vos ventes et votre génération de leads en développant le trafic organique qualifié sur votre site web depuis les moteurs de recherche (Google, Microsoft Bing, LLM...).
80% SEA
20% SEO

Rapprochez-vous du lancement de votre prochain projet dès aujourd'hui

Questions fréquemment posées

Que recouvre précisément l’expertise GEO en France et à quels besoins répondent les agences spécialisées ?

L’expertise GEO (géolocalisation, systèmes d’information géographique ou SIG) en France concerne l’exploitation des données spatiales pour optimiser des problématiques métier : sectorisation commerciale, logistique urbaine, études de flux, gestion d’infrastructures. Avec près de 600 entreprises identifiées comme actives dans la valorisation des données géographiques, le marché français a vu la demande fortement croître, soutenue par l’essor des smart cities et le renforcement des politiques publiques autour de la ville intelligente. Les agences GEO interviennent notamment auprès des collectivités, des majors du BTP, mais également de PME industrielles ou de groupes retail qui souhaitent optimiser réseaux ou implantations via des analyses cartographiques avancées. Le tissu académique, avec des écoles comme l’ENSG (Marne-la-Vallée) ou l’école des Mines d’Alès, favorise l’innovation dans ce domaine. Les besoins les plus fréquemment exprimés tournent autour de la modélisation territoriale, du géomarketing et de la supervision d’actifs répartis (énergie, transports).

Quel est le profil type des agences GEO en France et comment évolue le marché régionalement ?

Les agences GEO françaises se concentrent majoritairement dans trois grands bassins : l’Île-de-France (38% des structures), l’Auvergne-Rhône-Alpes et l’Occitanie. Il existe une forte disparité régionale : tandis que Paris concentre les acteurs structurants (ingénierie, intégration SIG pour les grandes entreprises), des territoires comme Toulouse ou Montpellier se démarquent par une densité de startups orientées innovation spatiale et agriculture de précision. Le secteur est composé à 70% de TPE et PME, et environ 15% des agences proposent des prestations R&D avancées, notamment dans l’analyse de données satellite. Selon Numeum, on compte plus de 18 000 emplois liés aux SIG en 2023 au niveau national, avec une croissance annuelle du secteur GEO estimée à 6%. Les agences travaillent aussi pour des secteurs très diversifiés : énergie, collectivités, santé, logistique.

Quels sont les niveaux de tarifs constatés pour des projets GEO en France selon la typologie de prestation ?

Les coûts des projets GEO sont très variables en France, en fonction du périmètre (développement d’application cartographique sur-mesure, intégration SIG, géomarketing, études spatiales). Pour une cartographie sur-mesure simple, il faut compter dès 8 000 € HT, tandis que les intégrations avec des flux de données massives (IoT, mobilité en temps réel) ou des analyses prédictives avoisinent fréquemment les 40 000 € à 100 000 € sur six mois. Les prestations d’audit ou de conseil stratégique démarrent autour de 800 à 1 200 € HT/jour. À Paris, le coût journalier moyen d’un consultant SIG est estimé à 750 €, tandis qu’en région, cela oscille autour de 600 €. Une spécificité du marché national : beaucoup de projets sont réalisés via financements publics, appel à projets ou fonds européens, ce qui permet de soutenir des dispositifs collaboratifs entre agences et acteurs publics.

Quelles compétences et technologies maîtrisent aujourd’hui les agences GEO françaises ?

Les agences GEO françaises maîtrisent un socle technologique large : déploiement de plateformes SIG Open Source (QGIS, GeoServer, PostGIS), intégration d’API cartographiques (OpenStreetMap), développement sur ESRI, analyse d’images satellites, et traitements massifs de données spatiales (big data, IA géospatiale). Près de 60% des agences intègrent désormais des outils cloud pour la visualisation et le partage des données. La demande explose sur le machine learning appliqué à la détection d’anomalies ou à la prédiction de flux, avec un tiers des agences proposant des services fondés sur l’IA. La France possède plus de 10 000 diplômés annuels spécialisés data-GEO grâce à l’écosystème académique (universités, écoles d’ingénieurs) réparti entre Lyon, Paris, Toulouse et Strasbourg. Les exigences s’élèvent pour couvrir des domaines complexes comme la modélisation 3D urbaine ou la cartographie temps réel (smart grids, logistique connectée).

Quels sont les enjeux de recrutement et les tendances RH dans le secteur GEO en France ?

Le secteur GEO connaît une forte tension sur les profils techniques : les postes de développeur SIG, data scientist spatialisé ou chef de projet géomatique sont très recherchés, avec un taux de vacance des postes supérieur à 8% en Île-de-France et en Rhône-Alpes. Les salaires moyens pour un ingénieur SIG dépassent 42 000 € bruts annuels, avec des pointes à 55 000 € pour les profils seniors dans les grandes agglomérations. Près de 20% des recrutements sont réalisés en télétravail complet ou partiel, illustrant la numérisation accrue du secteur. Les écoles d’ingénieurs spécialisées (ENSG, ENGI, Polytech Tours) contribuent à alimenter le vivier, mais la demande dépasse l’offre, notamment dans les zones rurales où les agences peinent à fidéliser les talents. Le secteur attire aussi de nombreux jeunes diplômés, 65% des embauches ayant moins de 3 ans d’expérience.

Quels types de clients font le plus appel aux agences GEO et pour quels projets stratégiques ?

Les agences GEO accompagnent une base très diversifiée de clients : 35% des collaborations concernent des collectivités territoriales (gestion d’infrastructures, cartographie du foncier, urbanisme participatif), 30% touchent les acteurs privés comme les groupes de distribution ou la logistique, et près de 15% concernent les utilities (énergie, eau, télécommunications). Un cas d’usage florissant concerne l’optimisation de tournées en logistique urbaine, domaine où la France gère plus de 350 millions de livraisons e-commerce annuelles. Les enjeux environnementaux et la transition énergétique génèrent aussi de nouveaux projets : plans climat locaux, supervision de réseaux d'énergie renouvelable, suivi de la qualité de l’air. La mise en œuvre de jumeaux numériques urbains mobilise les agences pour des collectivités de toutes tailles. Ces missions requièrent des expertises pluridisciplinaires, combinant data, ingénierie, conduite du changement.

Quelles initiatives et acteurs structurent l’écosystème GEO en France actuellement ?

L’écosystème GEO français est structuré autour de pôles majeurs : le pôle Cap Digital en Île-de-France, Aerospace Valley en Occitanie, ou le cluster Digital League en Auvergne-Rhône-Alpes. Ces structures facilitent les collaborations entre laboratoires, entreprises et collectivités. Les campus universitaires spécialisés (ENSG à Champs-sur-Marne, Université Jean-Monnet à Saint-Étienne) alimentent la filière en compétences pointues. Sur le terrain, des événements nationaux comme le GeoDataDay ou le salon SIG rassemblent chaque année plus de 2 500 professionnels. En 2023, près de 420 startups françaises référencées sont actives sur des segments comme la télédétection, la cartographie dynamique, ou la smart city. Les différents PTCE (Pôles Territoriaux de Coopération Économique) soutiennent également les usages collaboratifs et les projets innovants financés par l’État ou l’Europe.

Quelles sont les perspectives de développement et les tendances émergentes dans la GEO en France ?

Le marché français de la GEO affiche une dynamique portée par la digitalisation des politiques publiques et la transition écologique. Le chiffre d’affaires global du secteur a progressé de 5,8% entre 2022 et 2023, selon Syntec Numérique. Deux grandes tendances s’accélèrent : l’usage de l’intelligence artificielle pour l’analyse prédictive des données spatiales et la montée en puissance des plateformes cloud natives pour la cartographie collaborative. Le secteur agricole, qui représente 15% des achats de prestations GEO, se tourne vers la télédétection pour piloter irrigation et rendements. Côté formation, plus de 1 500 étudiants sortent chaque année diplômés de filières géomatique ou data science à l’échelle nationale, et la demande croît sur les compétences DevOps/SIG. Enfin, la France voit émerger des consortiums public-privé autour des smart cities, ce qui ouvre de nouveaux marchés aux agences, notamment dans l’urbanisme durable et la gestion des risques naturels.