C’est quoi concrètement l’intelligence artificielle, et comment s’y préparer ?

16 min de lecture
Rédigé par Franck Mairot le 4 mai 2017
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L’intelligence artificielle fait l’objet des fantasmes les plus fous, mais n’est pas non plus sans susciter certaines craintes. Elle fait aussi bien rêver et que cauchemarder. Dans tous les cas, le sujet ne laisse personne indifférent. Sam DeBrule, l’auteur d’un blog de prospective sur l’IA nommé « Machine Learnings« , a publié il y a quelques semaines un article passionnant sur l’IA. Cet article aborde la question des conséquences de l’automatisation sur l’emploi.

L’intelligence artificielle et l’automatisation des tâches qu’elle permet, selon Sam, vont bouleverser les manières de travailler, probablement supprimer des emplois, mais très certainement aussi en créer de nouveaux, dont on n’a même pas encore idée. L’article évoque aussi les différentes compétences (soft skills) à développer pour réussir à se démarquer dans le monde du travail largement automatisé qui est en train se profiler. Nous vous proposons ici une traduction de l’article en question, titré « Artificial Intelligence and the Growing Importance of Soft Skills« . Bonne lecture !

Mais au fait, c’est quoi au juste l’Intelligence Artificielle ?

Mieux vous comprendrez ce qu’est l’intelligence artificielle, plus vous serez en mesure de savoir si votre travail risque ou non d’être impacté par l’automatisation. Malheureusement, il y a une grande confusion autour de ce terme, qui n’est pas sans compliquer les choses pour tout le monde. Ben Thompson a récemment expliqué les raisons pour lesquelles l’IA était si difficile à définir :

D’abord, il y a deux types d’intelligence artificielle : l’intelligence artificielle générale (Artificial General Intelligence), c’est-à-dire un système informatique capable de faire tout ce qu’un humain peut faire. Elle doit être distinguée de l’intelligence artificielle étroite (Artificial Narrow Intelligence), qui fait référence aux systèmes informatiques capable de remplacer des actions humaines, mais seulement dans certaines limites étroites.

Le Secrétaire du Trésor américain – Steven Mnuchin – a récemment été tourné en ridicule sur Twitter après avoir fait une déclaration démontrant sa méconnaissance totale de l’intelligence artificielle. Il a affirmé que, selon lui, l’intelligence artificielle ne représentait pas du tout une menace pour l’emploi, mais que l’on verrait des voitures autonomes transformées en navette fluviale dans un futur proche.

Concernant l’idée selon laquelle l’intelligence artificielle supprimerait des emplois américains, je pense que nous en sommes encore très loin. Ce risque ne figure pas sur mon radar. Je pense que c’est plutôt à l’horizon 50 ou 100 ans. Pour moi, ce que nous voyons aujourd’hui n’est pas l’intelligence artificielle, ce sont des ordinateurs utilisant des technologies concrètes. C’est vraiment complètement différent de l’intelligence artificielle… vous savez, R2-D2 vous piquant votre travail…

Cette déclaration est ahurissante parce que des millions de camions et de taxis pourvoyeurs d’emploi seront éliminés par les technologies de pilotage automatique (liées à l’IA étroite) dont Steven Mnuchin prévoit l’arrivée prochaine. On estime que 38% des emplois américains ont un fort risque d’être automatisé d’ici les 15 prochaines années.

Pas besoin d’attendre que le robot devienne plus intelligent que l’homme dans toutes les tâches intellectuelles (l’intelligence artificielle générale) pour que des emplois soient supprimés. Il suffit seulement que des logiciels intégrant de l’IA, meilleurs que l’homme pour une ou deux tâches, comme par exemple conduire quelqu’un d’un point A à un point B, soient introduit sur le marché pour que les effets de l’IA sur l’emploi commencent à se faire sentir.

Di 15 ans peut sembler long, la vérité est que de nombreuses activités que vous ou vos proches prenez plaisir à pratiquer, seront automatisées d’ici un ou deux ans. Il y a moins de protections et de régulations conçues pour vous protéger de l’impact de l’automatisation qu’il n’y en a pour protéger l’industrie américaine.

Les chatbots – ou robots conversationnels – sont une des applications de l’intelligence artificielle. Pour en savoir plus sur ce phénomène en pleine expansion et créer votre propre chatbot, lire notre article : « Zoom sur l’émergence des chatbots – Prêt à créer votre propre Bot ?« .

Comment l’intelligence artificielle va automatiser certains emplois

Pouvant traiter un volume plus important d’information que nous – humains – pouvons intégrer au cours de toute notre vie, les logiciels d’intelligence artificielle nous permettent d’atteindre de nouveaux horizons dans la résolution des problèmes complexes. Ce que nous montre l’IA, c’est que les solutions d’aujourd’hui ne sont plus un maximum global, mais seulement un maximum local. (Nathan Benaich, investisseur)

Les articles sur l’intelligence artificielle qui défilent sur vos profils Facebook et Twitter concernent pour la plupart les scénarios apocalyptiques associés à l’intelligence artificielle générale. Bien qu’ils soient intéressants, ils passent à côté des questions vraiment pressantes et actuelles.

L’automatisation basée sur l’IA créera de nouveaux emplois et permettra aux gens de devenir plus productifs, mais la triste vérité c’est que l’automatisation de certaines activités spécifiques ou d’emplois entiers changera la vie de milliers de millions de personnes à travers le monde. Le McKinsey Global institute et la Maison Blanche estiment, respectivement, que « 60% des activités humaines sont techniquement automatisable à au moins 30% » et que « 47% des emplois US risquent d’être remplacés par des technologies liées à l’IA » d’ici les prochaines 10 ou 20 années.

Lorsqu’une entreprise attend des gains financiers énormes de l’automatisation de certaines tâches, et qu’elle affirme que telle tâche peut être automatisée par les techniques existantes d’IA, vous pouvez être certain que cette tâche sera très rapidement automatisée. Si un emploi consiste pour l’essentiel à répéter cette unique tâche, il faut s’attendre à ce que les personnes qui ont cet emploi soient remplacées, plutôt qu’assistées, par les logiciels d’IA.

Si l’automatisation pose de gros problèmes sur le terrain de l’emploi, elle peut dans le même temps permettre d’améliorer la qualité de vie, et dans certains cas sauver les vie de milliers de millions de gens.

Passons maintenant aux activités, aux emplois et aux secteurs d’activité pour lesquels les experts prédisent un impact de l’intelligence artificielle d’ici les 5 prochaines années.

Reconnaître des schémas connus

Si vous, ou une personne à laquelle vous tenez, avez déjà été confronté à une maladie non-détectée par les médecins, vous savez l’importance qu’il y a à détecter les maladies en amont. Les maladies constituent une classe de « modèles » (patterns) qu’un algorithme basé sur l’IA peut reconnaître.

Rien qu’aux Etats-Unis, on compte plus ou moins 38 000 radiologues disposant en moyenne d’un revenu annuel de 490 000 dollars. Selon une étude récente de l’administration américaine, ces radiologues procèdent à près de 40 millions de mammographies tous les ans pour détecter des anomalies dans les tissus de la poitrine requérant des examens approfondis. Le ministère de la Santé du Royaume-Uni a montré récemment que les outils standards n’étaient pas assez sensibles pour détecter le concert du sein dans 17% des cas. C’est la raison pour laquelle beaucoup de gens se sont montrés enthousiastes par le communiqué de Google dans lequel la firme californienne annonçait avoir développé un algorithme pour détecter des cancers du sein.

Si cette technologie finit par sortir des laboratoires pour faire son entrée dans les hôpitaux, ce sont des milliers de vie et des millions de dollars qui pourraient être économisés grâce au diagnostic et au traitement précoce des patients. Si les possibilités d’automatiser le diagnostic du cancer du sein sont bien réelles, il est plus probable que l’intelligence artificielle dans ce cas complète le travail des radiologues, plutôt qu’elle ne les remplacent. Car contrairement à d’autres emplois se résumant pour l’essentiel à l’accomplissement d’une seule tâche, les radiologues ont plusieurs responsabilités. En plus d’identifier des modèles à partir d’images médicales, ils ont aussi pour tâche de consulter les médecins pour définir le traitement des patients et sont en dialogue constant avec les autres professionnels de la santé. Ces activités ne sont pas encore prêtes d’être automatisées. Les machines vont continuer encore pour longtemps à servir d’outils aux radiologues, avant de les remplacer complètement.

Découvrez comment monétiser un blog sans y passer trop de temps.

Conduire des véhicules et livrer des marchandises

Morgan Stanley a prédit que les camions autonomes pourraient permettre des économies de l’ordre de 168 milliards de dollars par an dans le secteur du fret de marchandises. Le Boston Consulting Group a de son côté prédit que les voitures autonomes pourraient représenter un marché de 42 milliards de dollars d’ici 2025.

Les compagnies de fret économiseraient 70 milliards de dollars par an en mettant au chômage technique les quelques 1,6 million de routiers travaillant aux Etats-Unis. A cela s’ajouteraient 36 milliards d’économies liés à la réduction du nombre d’accidents routiers. 3 852 personnes ont perdu la vie en 2015 suite à un accident de camion.

Selon la Maison Blanche, les emplois de près d’1,4 million de conducteurs professionnels (taxis, bus…) sont menacés par le développement des véhicules autonomes. Des chercheurs, de leur côté, estiment que les voitures autonomes permettront de réduire les accidents de la route de l’ordre de 90%. Si l’on s’appuie sur les chiffres de 2015, cela représente près d’1 125 000 vies sauvées par an au niveau mondial. Pour mettre cela en perspective, au cours d’un seule année, les véhicules autonomes permettraient de sauver la population additionnée des îles Fiji et des Bahamas.

S’il est démontré, statistiques à l’appui, que les algorithmes sont plus doués que les conducteurs humains, alors nous ne devrions plus autoriser les humains à prendre le volant. Si vous voulez continuer de conduire, allez à Lego Land…La conduite devient une activité ludique – nous ne voulons plus de vous sur les routes. (Frank Chen, Andreesen Horowitz).

L’automatisation des activités de conduite et de livraison constitue un risque d’autant plus élevé pour l’emploi qu’elle permettrait de sauver des vies et aux entreprises de faire des économies substantielles. Le défi majeur pour la société sera de trouver un nouvel emploi aux conducteurs professionnels. Jusqu’à présent, on a surtout parlé à droite et à gauche de l’automatisation des emplois peu rémunérés, mais les compétences des professions à haute rémunération seront également touchées par l’automatisation (comme on vient de le voir avec l’exemple des radiologues).

Déplacer des objets

Beaucoup a déjà été écrit sur l’utilisation des robots par Amazon (qui repose sur l’IA étroite) pour dominer le marché et réduire les dépenses de stockage de 20% (ce qui correspond à plusieurs milliards de dollars). Les petits robots se déplacent dans les centres d’approvisionnement, portent les marchandises lourdes et les apportent aux salariés d’Amazon pour éviter les pertes de temps liées à la marche et à la recherche des produits. Il n’est pas difficile de concevoir l’utilité de ce genre de robots dans d’autres secteurs d’activité.

Les plus grandes entreprises américaines du secteur des déchets, par exemple, seront probablement amenées à remplacer tôt ou tard les près de 50 000 salariés payés plus de 30 000 dollars par an qu’elles ont embauché par des robots afin de réduire leurs coûts et d’augmenter leurs bénéfices. Remplacer les humains, dans ce cas particulier, pourrait aussi avoir un intérêt d’ordre environnemental (via l’amélioration des systèmes de tri des déchets). Cela permettrait aussi de dispenser les hommes de tâches ingrates et éreintants…Le problème, c’est que beaucoup de personnes perdront leur emploi dans cette transformation.

L’automatisation touche aussi les secteurs juridiques et comptables, comme nous le rappelions dans notre article zoom sur 5 outils d’automatisation juridique / comptable.

Rechercher et rassembler des informations

L’automatisation basée sur l’intelligence artificielle n’impactera pas seulement les camionneurs. Elle se fera aussi sentir dans les immeubles de bureaux – dans lesquels vous vous trouvez peut-être ce moment. Chaque année, les professions intellectuelles dépensent au moins 600 millions d’heures de travail à chercher et à rassembler des informations. Cette activité pourrait être accomplie plus rapidement et plus efficacement par des machines.

On peut facilement imaginer l’enthousiasme d’un manager auquel on expliquerait que l’intelligence artificielle permet de créer des logiciels capables de fournir les informations dont les forces de vente ont besoin, d’améliorer la productivité des employés en leur permettant d’utiliser plus efficacement les deux heures qu’ils passent chaque jour à chercher des informations à droite et à gauche.

Tout comme le radiologue, dont le travail va bien au-delà de l’analyse des images médicales, les commerciaux (et beaucoup d’autres professions intellectuelles) ne passent pas leur temps dans la collecte d’informations. Dans ce cas aussi, l’intelligence artificielle ne remplacera probablement pas les hommes, mais leur apportera simplement un soutien.

La plupart des professions intellectuelles passent moins de la moitié de leur temps à faire des activités à haute valeur ajoutée (ce pour quoi elles ont été embauchées). L’autre moitié du temps est passée à faire des recherches, à organiser des rendez-vous et à réaliser toutes les autres tâches associées à la vie de bureau. Ces tâches pourraient être exécutées aussi bien par des machines intelligentes (Shivon Zilis).

En vérité, l’impact de l’automatisation liée à l’intelligence artificielle sera à la fois positif et négatif. Certains emplois finiront probablement par être entièrement automatisés. L’homme, dans ce cas, n’aura plus sa place dans le process de production. Mais, dans la majorité des cas, seules des tâches très spécifiques seront automatisées. Les emplois associés à ces tâches seront transformés, mais pas supprimés. Seul le temps nous dira si nos sociétés trouveront le moyen d’employer les personnes souffrant le plus de l’automatisation.

Cela ne vaut plus la peine de consacrer du temps et de l’énergie à la maîtrise des activités abordées plus haut. Les logiciels basés sur l’IA seront plus performants que les hommes dans un futur proche. On ferait mieux d’utiliser son temps à développer d’autres compétences. Des compétences qui seront complémentaires aux avancées rendues possibles par l’intelligence artificielle.

Quelles sont ces compétences, me diriez-vous ?

Guide pour prospérer dans un univers de travail automatisé

L’introduction de technologies basées sur l’IA dans la sphère productive bouleversera à terme tous les emplois et tous les secteurs d’activité, mais la plupart des gens efficaces de demain ne seront pas bien différents de ceux d’aujourd’hui.

Ces personnes continueront d’apporter de nouvelles idées sur la table, de communiquer efficacement à travers l’organisation, d’utiliser des raisonnements logiques pour être plus convaincants. L’intelligence artificielle pourra reconnaître des schémas pré-établis, conduire de manière autonome, rassembler des informations et déplacer des objets d’un lieu à un autre, mais elle ne sera pas capable de penser de manière créative, de faire preuve d’empathie ou de formuler des raisonnements logiques. Seul l’homme le peut.

Les paragraphes qui suivent s’adressent aux professions intellectuelles, aux travailleurs qui ont la chance d’occuper un emploi qui fait appel à l’intelligence et à des tâches non-automatisables. Personne n’est en mesure de savoir dans quelle mesure l’intelligence artificielle modifiera les emplois intellectuels. Pour se mettre soi-même dans la position d’être augmenté, plutôt que remplacé par l’IA, il faut d’abord accepter d’accueillir les technologies liées à l’IA et les intégrer dans son fonctionnement. Il faut ensuite développer des compétences permettant de décupler le pouvoir de l’intelligence artificielle et de gagner en productivité.

Pour beaucoup, ces compétences seront difficiles à développer. Toutefois, cela vaut clairement le coup de commencer à les travailler dès maintenant. Ceux qui auront réussi à forger ces compétences deviendront complémentaires des nouvelles technologies qui ne manqueront pas de s’introduire dans les espaces de travail d’ici les prochaines années ou décennies. Quelles sont ces compétences ? Les voici.

Développer sa capacité à générer des idées créatives

Certaines activités réalisées par les « cols blancs » seront automatisées, c’est évident. Les salariés, pour se démarquer, devront investir du temps dans des activités plus impactantes, mettant en avant leurs capacités intellectuelles et créatives. Grâce aux logiciels intelligents, le cinquième du temps qui est aujourd’hui consacré à la collecte d’informations sera économisé et pourra être consacré à des tâches plus valorisantes. Doté d’une compréhension holistique de son environnement (ce qui est impossible pour une intelligence artificielle), un analyste par exemple pourra consacrer plus de temps à identifier des problèmes ou des opportunités. Il disposera de plus de temps pour échanger avec ses collègues. Les processus créatifs ne pourront jamais être automatisés.

L’empathie

Malgré les progrès technologiques, les humains restent beaucoup plus doués que les machines lorsqu’il s’agit d’interpréter le langage et de gérer tous les signes liés aux interactions humaines. Il suffit d’utiliser Siri ou Google Home pour s’en rendre compte.

Un salarié qui parvient à structurer et à formuler ses idées de manière à être compris des autres représentera toujours un élément irremplaçable pour l’équipe. Lorsque les robots finiront par se charger des tâches répétitives, les salariés pourront dédier plus de temps à la mise en avant de leurs capacités sociales et émotionnelles, permettant de développer les compétences de leurs collègues.

Le raisonnement logique et la résolution de problème

Avant que les systèmes basés sur l’IA soient capables d’expliquer en détail les chemins qu’ils empruntent pour arriver à leurs prédictions, les salariés pourront continuer de sortir du lot en développant leurs capacités logiques, en renforçant leur capacité à rendre compte de leurs recommandations.

Les logiciels fondés sur l’intelligence artificielle ne sont toujours pas capables de résoudre des problèmes selon des procédures logiques et en s’appuyant sur des informations contextualisées. Les humains seuls le peuvent. Une personne qui utilise la logique pour résoudre un problème et est capable de rendre compte du raisonnement qui l’a amené à telle ou telle solution sera plus à même de gagner la confiance et le respect de ses collègues que celles qui n’y parviennent pas.

Pour ne pas s’exposer au risque d’être remplacés par l’intelligence artificielle, les salariés doivent donc premièrement maîtriser parfaitement leurs compétences de base – celles associées à leur fonction – mais aussi développer les « soft skills » que nous venons rapidement d’énumérer (empathie, raisonnement logique, etc.).

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